Question de vie ou de mort : qui va GAGNER ?
Cher(e) ami(e) de la Santé,
Après la crise du coronavirus, un combat magistral va commencer.
Une lutte à mort entre deux camps irréconciliables.
Les enjeux sont immenses.
Nous avons un choix de civilisation à faire, entre deux voies possibles :
- Soit le bon sens écologique, l’humanité et la liberté ;
- Soit le « tout-chimie », la surveillance et la censure.
Qui va gagner ?
Cela dépend de notre réaction à tous.
Comptez-sur moi, en tout cas, pour me battre comme un lion.
Car je refuse catégoriquement ce qu’une partie de nos élites nous prépare :
Réveillons-nous ! Voici la vie qu’ils veulent nous imposer
Voici ce qu’a déclaré le Dr Anthony Fauci, le patron de la réponse sanitaire aux Etats-Unis :
« Je pense que nous ne devrions plus jamais nous serrer la main »[1].
Derrière cette phrase stupide, il y a une idéologie précise, profonde et dangereuse.
Il est très important d’en être conscient, alors voici ses 4 éléments fondamentaux :
- Les virus et bactéries seraient des « ennemis mortels » du genre humain
Ils veulent nous empêcher de nous serrer la main, comme si les microbes étaient toujours des ennemis à abattre.
Mais c’est une erreur colossale, comme l’ont montré les découvertes récentes sur le microbiote !
En réalité, nous formons une véritable « symbiose » avec les bonnes bactéries qui pullulent dans notre intestin, sur notre peau et un peu partout dans notre corps !
On commence à comprendre que les bactéries peuvent être des alliées… et ce qui nous rend malade, ce sont généralement les déséquilibres bactériens !
Prenez la bactérie Helicobacter Pylori, qui a été diabolisée depuis qu’on a découvert qu’elle est impliquée dans les ulcères de l’estomac.
Des chercheurs commencent à réaliser que cette bactérie n’est pas mauvaise en soi.
Au contraire, Helicobacter Pylori aurait aussi des effets positifs pour la santé, notamment contre l’obésité[2] et l’inflammation chronique[3].
Des chercheurs ont même découvert, à leur stupéfaction, que les gènes de cette bactérie améliorent le fonctionnement de nos intestins et pourrait éloigner les maladies inflammatoires :
« Il est incroyable que l’ADN de cette bactérie ait une influence significative sur l’immunité intestinale de la personne qui l’abrite », ont déclaré ces chercheurs[4].
En fait, c’est « incroyable » uniquement pour ceux qui ont une vision simpliste des microbes.
Helicobacter Pylori cohabite avec l’homme depuis au moins 50 000 ans. Il n’est donc pas étonnant que nous ayons appris à vivre en harmonie avec elle…
…comme avec la plupart des microbes qui nous entourent !
Et on commence à se rendre compte qu’il ne faut surtout pas les traiter en ennemis.
Ainsi, on sait aujourd’hui que les « savons antibactériens » sont catastrophiques pour la peau, car celle-ci a besoin de bonnes bactéries pour être en bonne santé.
On commence aussi à réaliser que l’explosion de l’asthme et des allergies est probablement liée à l’hygiénisme excessif de notre époque.
Une étude québécoise a même montré que les parents qui lavent leur vaisselle à la main (plutôt qu’au lave-vaisselle) ont des enfants moins touchés par l’eczéma ou l’asthme allergique[5].
Ce ne sont pas les virus et les bactéries en eux-mêmes qui nous rendent malades.
Ce sont les déséquilibres dans notre corps et notre environnement qui permettent aux microbes de devenir « pathogènes ».
C’est ce qu’avait reconnu le grand Pasteur, sur son lit de mort : « Bechamp avait raison : le microbe n’est rien, le terrain est tout ».
Et ce qui vaut pour les bactéries vaut également pour les virus.
Figurez-vous qu’on vient de découvrir que certains virus nous protègent des infections bactériennes !
Eh oui, notre mucus est bourré de virus « bactériophages », qui soutiennent notre réponse immunitaire contre certaines bactéries[6].
Ces virus seraient donc des « membres permanents de notre système immunitaire », comme le dit joliment Futura Science[7].
De fait, il existe quantité de symbioses harmonieuses entre les virus, les bactéries et nous, mais elles sont hyper complexes, et nous commençons à peine à les découvrir !
Et pourtant, plutôt que de préserver et respecter ces équilibres, nous n’avons fait qu’essayer de les détruire :
- La « course aux armements » contre la Nature
Après la Seconde Guerre mondiale, l’homme s’est cru « tout puissant », avec sa chimie et son progrès technique.
Il est vrai que la découverte des antibiotiques a été un petit miracle.
Mais on s’est mis à en abuser… jusqu’à ce qu’on réalise que les bactéries deviennent résistantes aux antibiotiques.
Tout est comme ça dans la Nature : on ne peut pas créer de déséquilibres impunément.
Il s’est passé exactement le même désastre avec :
- Les herbicides, qui finissent par créer des herbes résistantes, comme les amarantes résistantes au Roundup qui se développent en Amérique du Sud ;
- Ou les fongicides (anti-champignons), utilisés à forte dose depuis les années 1970 et qui ont fini par créer des champignons très agressifs, qui peuvent nous rendre malade (ils se cachent dans les moisissures de nos foyers)[8].
Et c’est aussi la même chose avec les vaccins.
A force de les utiliser, les germes s’adaptent, mutent et résistent.
On l’observe déjà avec la coqueluche : la vaccination classique contre la bactérie B. Pertussis a laissé la voie libre à une autre souche bactérienne, B. Parapertussis, qui provoque également la coqueluche[9].
A chaque fois, la réponse des scientifiques est une « fuite en avant » du Progrès : il faut de nouveaux antibiotiques, de nouveaux pesticides, de nouveaux vaccins…
Mais tout ceci crée des déséquilibres ailleurs, dont les effets sont imprévisibles et peuvent finir par nous sauter à la figure.
Une étude vient d’ailleurs de le montrer : certains coronavirus qui provoquent des infections hivernales classiques (rhumes) pourraient donner une immunité contre le Covid-19[10].
Cela pourrait expliquer pourquoi certaines personnes semblent parfaitement protégées contre les dégâts de ce nouveau virus.
Si c’est confirmé, cela veut dire que la circulation naturelle de coronavirus bénins a une réelle utilité, et qu’il aurait été meurtrier d’essayer de les éliminer !
- La seule réponse serait chimique : il faut créer des « anti »
Et pourtant, la réponse est généralement de nous proposer des réponses chimiques « anti ».
C’est tout le drame de la médecine moderne :
- Vous avez des douleurs d’estomac ? Prenez des « anti-acides » !
Problème : si l’acidité de l’estomac peut être douloureuse quand elle remonte dans l’œsophage, le reflux n’est jamais causé par un estomac trop acide.
On s’attaque à l’effet, pas à la cause… et on enfonce les gens dans leur problème plutôt que de les en délivrer !
- Vous êtes dépressif ? Prenez des anti-dépresseurs !
Problème : la dépression est un phénomène très complexe qui n’a rien à voir avec un problème de « molécule manquante » dans votre cerveau.
Il est donc totalement futile de prétendre résoudre le problème des personnes dépressives avec une seule pilule (même naturelle !)… et sans surprise, les dernières études montrent l’inefficacité quasi-totale des anti-dépresseurs[11].
- Vous avez de la fièvre ? Prenez des anti-inflammatoires !
Évidemment, c’est la pire chose à faire, car la fièvre, vous le savez, est une réponse normale de l’organisme.
Ce qu’il faut comprendre, c’est que la bonne réponse, durable, n’est pas de prendre un « anti ».
Bien sûr, à court terme, et en cas d’urgence, certains de ces médicaments sont utiles :
- Les antibiotiques peuvent sauver des vies, quand on les utilise avec parcimonie ;
- Les anti-viraux peuvent bien sûr être très utiles en début d’infection ;
- Même les anti-acides peuvent être utiles pendant 3 ou 4 semaines maximum, le temps que la paroi de l’œsophage guérisse… et bien sûr, les anti-inflammatoires peuvent soulager ponctuellement des douleurs atroces.
Mais ce ne sont que des palliatifs, en cas de « crise », pas des réponses de fond.
Aujourd’hui, on vous dit que la seule réponse durable est de trouver un vaccin contre le coronavirus.
Pourtant, il est très peu probable que l’on réussisse à mettre au point rapidement un vaccin efficace[12] (et on a déjà des premières confirmations : à la déception générale, 100 % des singes vaccinés par une équipe d’Oxford ont été quand même infectés par le coronavirus[13]!)
Mais le vaccin apparaît comme la seule solution à ceux qui misent tout sur la chimie et ne veulent rien comprendre des équilibres naturels.
- Ce qu’ils nous proposent : nous séparer, nous vacciner et nous surveiller
On peut comprendre que, pendant un pic épidémique, on puisse prendre des mesures extraordinaires.
C’est un peu comme les antibiotiques en cas d’infection grave : cela peut être indispensable à très court terme… mais ce n’est pas une solution durable.
Et pourtant, beaucoup d’infectiologues veulent vous interdire le « retour à la normale », tant qu’un vaccin ne sera pas disponible contre le coronavirus.
Il faudrait ne plus se voir, ne plus se toucher, se barricader pour une durée indéfinie.
C’est ce que demande Bill Gates, l’un des hommes les plus influents au monde, et un des principaux financeurs de l’Organisation mondiale de la santé.
Selon lui, la seule solution pour stopper la pandémie est de « rendre un vaccin accessible à la quasi-totalité de la planète”. “Nous devons fabriquer et distribuer 7 milliards de doses de vaccin »[14] a-t-il précisé.
Et avec ce genre de solutions, les privations de liberté sont inévitables.
Si les gens n’acceptent pas de se vacciner en masse, on finit par rendre les vaccins obligatoires… et on commence à surveiller et sanctionner ceux qui s’y refusent.
La fondation de Bill Gates a même financé des études visant à vous injecter votre carnet de vaccination sous la peau.
Si vous ne me croyez pas, je vous invite à lire cet article publié dans Futura Science :
« Des ingénieurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT) ont inventé des nanoparticules injectables sous la peau qui émettent une lumière fluorescente invisible à l'œil nu mais visible par un smartphone, et qui pourraient un jour servir à confirmer que la personne a bien été vaccinée.
L'idée est d'inscrire sur le corps lui-même la preuve du vaccin »[15].
Tout cela est dramatiquement cohérent.
Il reste juste à vous faire « avaler » toutes ces mesures, sans que vous ne protestiez.
Voilà pourquoi cette idéologie va aussi de pair avec la censure généralisée.
La patronne de Youtube l’a expliqué clairement, dans une interview stupéfiante[16] :
« Toute vidéo qui sera médicalement non fondée sera retirée, comme les personnes disant ‘prenez de la vitamine C contre le coronavirus’.
Tout ce qui va à l'encontre des recommandations de l'OMS serait une violation de notre politique et donc retiré. »
Faut-il rappeler que l’OMS vous disait en janvier que le coronavirus ne se transmet pas « d’homme à homme »… et en février que les masques ne servent à rien ?
Cette idéologie de la censure est cohérente avec celle de la surveillance et de la chimie.
Ce n’est pas un « hasard » si le gouvernement Macron fait voter la loi Avia qui permet la censure des réseaux sociaux… en pleine crise du coronavirus !
Sous prétexte de lutter contre la « haine », on cherche à lutter contre les opinions dissidentes.
Par exemple, avec la loi Avia, ce sera un jeu d’enfant de censurer la thèse selon laquelle le coronavirus s’est échappé d’un laboratoire de virologie Wuhan : il suffira de dire que cette thèse est « haineuse » vis à vis de nos amis Chinois… et elle sera retirée immédiatement des réseaux !
Mais tout ceci n’a rien d’inévitable.
Au contraire, il est urgent de choisir un autre modèle, fondé sur l’humanité, la liberté et le bon sens écologique :
Et si on essayait autre chose ???
Pour cela, il faut lutter contre la désinformation et tirer les quatre vraies leçons de cette crise :
- Pour éviter les pandémies, faire de la Nature une alliée, et non une ennemie
L’idée n’est pas de revenir à l’âge de pierre, ni de refuser le progrès technologique.
Après tout, c’est grâce à Internet que je peux vous écrire ceci librement.
Mais le progrès ne peut pas se faire contre les équilibres naturels.
Croyez-vous que les pandémies surviennent n’importe où, n’importe comment ?
Pas du tout.
C’est toujours le non-respect des équilibres naturels qui cause les épidémies nouvelles.
La grippe porcine, par exemple, est liée aux conditions épouvantables d’élevage des cochons en Chine.
Je ne reviens pas ici sur les véritables origines du coronavirus, mais il y a énormément de signaux qui montrent que cette pandémie n’a rien de très « naturelle »[17].
Encore une fois : les virus et bactéries existaient bien avant l’apparition des mammifères, et continueront de vivre bien longtemps après l’extinction de notre espèce.
La priorité est de maintenir les équilibres naturels… plutôt que se lancer dans des guerres illusoires contre ces soit-disant « ennemis invisibles ».
Je parle des équilibres écologiques… mais aussi des équilibres internes, de notre organisme :
- Compter sur les forces du corps humain avant tout
La crise actuelle a montré qu’il est illusoire et même dangereux de se concentrer sur la découverte de vaccins et traitements contre chaque germe, un à un.
L’exemple du vaccin contre la grippe est particulièrement éclairant.
C’est parce qu’on a fait de ce vaccin la grippe l’alpha et l’omega de la prévention contre les infections de l’hiver…
…que l’on s’est retrouvé fort dépourvu quand la crise du coronavirus est venue !
Cela fait des années que je vous le dis : la sur-mortalité en hiver est liée à beaucoup d’autres infections que la grippe !
Donc, même avec un vaccin anti-grippe efficace, on vous laisse totalement vulnérables face à ces autres infections… ou à de nouveaux virus comme le coronavirus chinois !
Pire : vu la complexité inouïe du système immunitaire et des équilibres naturels entre microbes, il est possible que le vaccin vous affaiblisse face à d’autres microbes !
Je rappelle qu’une étude publiée récemment dans Vaccine a montré que le vaccin contre la grippe cause une augmentation de 36 % des infections à coronavirus en général[18].
La vraie solution contre les infections hivernales est de renforcer le système immunitaire en profondeur, chaque année !
Sur le coronavirus chinois, de plus en plus d’études montrent que des déficits nutritionnels, notamment en vitamine D, en zinc et en sélénium sont en cause dans la mortalité.
Comme je le dis depuis le début de l’épidémie, il est criminel de ne pas avoir distribué des multi-vitamines dans les maisons de retraite.
Il serait franchement dramatique qu’on tire de cette crise les conclusions opposées à ce qu’il faudrait.
Si nous n’ouvrons pas les yeux : on va réussir à vous enfermer dans la peur panique des virus et autres microbes…
….et on va réussir à vous convaincre que le salut ne peut venir que des solutions « high-tech » comme les vaccins et les anti-viraux hors de prix.
Alors que c’est l’inverse qui est vrai !
Ce serait d’autant plus désastreux que les meilleures réponses, comme souvent, sont dans la nature :
- Se soigner en priorité avec l’intelligence de la Nature
Depuis des millions d’années, les êtres vivants ont cherché des moyens de « cohabiter » avec les microbes.
C’est pourquoi les substances créées par les plantes et autres êtres vivants sont généralement plus efficaces que ce que n’importe quel chimiste pourrait inventer en laboratoire avec les connaissances actuelles !
La meilleure preuve, ce sont les antibiotiques… qui sont des substances créées par des champignons et bactéries !
Eh oui… on l’oublie souvent, mais la pénicilline a été découverte par hasard, dans de la moisissure : jamais cette substance guérisseuse n’aurait pu être concoctée en laboratoire.
C’est parce que les bactéries, les champignons et les plantes vivent avec les microbes depuis toujours qu’il faut s’intéresser à leurs solutions !
Leur grand avantage est que, contrairement aux solutions chimiques de synthèse, qui ont tendance à tout détruire sur leur passage, les solutions inventées par les plantes respectent davantage les équilibres de l’ADN, les équilibres de la vie !
Par exemple, lorsque le thym produit une substance anti-virale, cette substance cohabite à l’intérieur de ses propres cellules, sans leur faire de mal… et c’est pour cela qu’elle a de bonnes chances d’être compatible avec les cellules humaines également !
Bien sûr, les plantes peuvent aussi produire des poisons pour l’être humain, mais c’est l’exception, et non la règle.
Tout cela pour vous dire qu’il est invraisemblable qu’on n’ait pas, dès le début de l’épidémie, testé sérieusement des substances anti-virales comme :
- La quercétine ;
- La propolis (produite par les abeilles pour se protéger des germes) ;
- La plante Artemisia Annua ;
- Les huiles essentielles de ravintsara ou de laurier noble.
On sait déjà que ces remèdes sont sans danger et qu’ils ont de formidables propriétés anti-virales… pourquoi ne pas les avoir essayées rapidement ?
De même, au moment de la réanimation des malades, pourquoi ne pas avoir testé plus massivement des solutions naturelles hyper-prometteuses, comme les injections de vitamine C ou de glutathion ?
Pourquoi, si ce n’est pour des histoires de gros sous ?
Allons-nous continuer comme cela ?
- Privilégier l’humanité, la liberté et la responsabilité
De même, enfermer les gens dans la psychose a été une terrible erreur.
Le confinement strict à domicile comporte tous les ingrédients d’un désastre pour le système immunitaire :
- On sait que le stress et les troubles du sommeil rendent gravement vulnérables aux infections – or le meilleur moyen de vous créer ces problèmes est de vous enfermer chez vous, privé de la lumière du soleil (mélatonine) et du contact appaisant avec la nature ;
- On sait aussi que l’isolement et l’absence de contacts humains sont le meilleur moyen de faire dépérir les gens (les contacts skype ou téléphoniques ne peuvent pas remplacer les rencontres physiques, de visu) ;
- Et on sait que l’absence d’activité physique est dramatique pour notre système immunitaire… et pour le bon fonctionnement de nos vaisseaux sanguins… or le coronavirus tue en partie via des atteintes au cœur et à nos vaisseaux !
Bref, on ne pouvait pas faire pire que d’empêcher les gens de sortir marcher en pleine nature, prendre le soleil (vitamine D) et rencontrer d’autres personnes (avec bien sûr des précautions).
D’ailleurs, pendant que les Français avaient à peine le droit de sortir se dégourdir les jambes, les Allemands étaient encouragés à pédaler sur leur vélo, en plein air.
Allons-nous retenir la leçon ?
Allons-nous enfin comprendre qu’il faut s’intéresser à notre système immunitaire et à notre santé générale, plutôt que de tout miser sur les masques, les barrières et autres restrictions de liberté ?
Allons-nous nous enfermer dans l’infantilisation des populations et la censure des opinions dissidentes ?
Ou allons-nous au contraire encourager les gens à prendre en main leur santé et à s’exprimer en toute liberté ?
Dès le début de la crise, les autorités politiques et sanitaires ont diffusé des messages aberrants et mensongers :
- L’OMS a menti sur les débuts de l’épidémie pour protéger la Chine ;
- Les responsables politiques français ont menti sur les masques pour se protéger eux-mêmes ;
- Les autorités sanitaires françaises ont menti sur les (faux) dangers de la chloroquine, pour protéger les profits des labos.
Et ce sont eux, à qui il faudrait faire confiance aveuglément ?
Et il faudrait censurer les réseaux sociaux, qui ont diffusé énormément d’informations salvatrices, comme de prendre de la vitamine D et du zinc ?
Ce serait le monde à l’envers.
Il ne faut vraiment pas se tromper de voie.
Ce qui commence maintenant, post-crise, c’est le combat du siècle.
On ne peut pas se permettre de le perdre.
Bonne santé,
Xavier Bazin
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